Petiti con

Glaive et Balance




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Messages : 5 Sujet: Le pire n'est jamais décevant Aujourd’hui à 14:42
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Stéphane Saint-André a distribué les portefeuilles
Les noms des dix adjoints connus depuis l'installation du conseil, vendredi, le maire a dévoilé hier leurs délégations. En promettant du rab.


PAR SÉBASTIEN BERGÈS
bethune@info-artois.fr Coach Saint-André tient sa feuille de match. Il avait fait le plus dur, la semaine dernière, en faisant voter la liste des dix noms de son 10 de départ. Des bleuets qui étrennaient là leur 1re sélection. « Tenir ce raisonnement, c'est fermer la porte au renouvellement », rétorque le maire. Lui se réfère avec gourmandise à l'équipe Mellick de 1977, qui avait installé aux commandes de similaires rookies. Aux adjoints bien nés, la valeur n'attend pas le nombre des années ? Saint-André le croit, qui a distribué les maillots sans trembler.
Olivier Gacquerre reçoit l'enseignement, la petite enfance, le sport, la police municipale. Mais le premier adjoint, deuxième jambe de la majorité d'union, ne sera jamais loin du maire.
Pour Anne Écuyer, du Vert en veux-tu en voilà. Transports, espaces verts, environnement, démocratie participative.
Michel Piard, 39 ans, succède à un autre Michel, Cauche, aux finances. Un portefeuille stratégique pour ce récent militant UMP, dont Saint-André rappelle volontiers qu'il est attaché territorial de la mairie communiste de Lillers. « Il a bossé comme consultant dans le privé, développe le premier magistrat, surtout dans le redressement des communes en difficulté ». Un message subliminal ? Nathalie Jakobczyk remplace Daniel Boys à la culture, et Liliane Cirilli supplée François Queste à l'action sociale. Le Mont-Liébaut, « soit un tiers de la ville », note un Olivier Gacquerre attaché au quartier, se voit gratifier d'une adjointe dédiée, Évelyne Planquelle.
Depuis le banc de touche, les remplaçants tentent de faire bonne figure. Bernard Seux, piégé par la parité et exclu de la shortlist la semaine dernière, peut miser sur une séance de rattrapage. Saint-André a décidé de ne pas mégoter ses maroquins. « Il y en a plus dans vingt têtes que dans dix », répète-t-il. Dix conseillers délégués seront nommés. Ils sont aux adjoints ce que les secrétaires d'État sont aux ministres. Plus fort : appuyé sur les conseils de quartier, il compte user d'une dérogation au plafond de dix adjoints. Trois jokers pourraient grossir leurs rangs. À quoi il convient d'ajouter une prélature bien spécifique : un « conseiller spécial », Jean-René B. Un M.
travaux sous l'égide du premier magistrat.
Dans pareille distribution, le nombre de conseillers privés de mission tomberait à... deux. Une paire de godillots ? À moins que des postes de délégués d'Artois Comm. n'éteignent les dernières frustrations. À l'exception de celles de l'opposition. •
> Olivier Gacquerre : Enseignement, petite enfance, sport, police municipale. Anne Écuyer : transports, espaces verts, environnement, démocratie participative, développement durable. Michel Piard : finances, budget. Amel Gacquerre : développement et gestion des carrières et développement de la qualité des services publics, animations, foire et marchés, communication institutionnelle. Philippe Preud'Homme : développement économique, commerce et artisanat. Nathalie Jakobczyk : culture, patrimoine, tourisme. Yvon Bultel : administration générale (contrats, contentieux, état civil). Évelyne Planquelle : Mont-Liébaut, insertion, handicap. Henri-Claude Honnart : urbanisme, logement, politique de la ville.
Liliane Cirilli : action sociale et solidarités actives. Jean-René B : conseiller spécial pour les travaux.



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Messages : 5 Sujet: Re: Le pire n'est jamais décevant Aujourd’hui à 14:44
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Au fait, Amel Quacquerre n'a pas perdu son travail de conseil en RH ?

Et maintenant elle s'occupe de celles et ceux qui ont une légitimité par concours de la fonction publique territoriale...elle qu'on a gentiment remercié tellement elle devait être compétente!

Si elle gère les carrières des autres comme elle n'a pas su gérer la sienne...Bon courage!

Amel
nulle à chier

l'oLIVIER
blanc comme un mort


DEHORS les UMPistes!

Allez à Saint Venant!

Comment le maire de Béthune a tissé sa toile sur la ville




De notre envoyé spécial.

à Béthune.

L’HOMME, on le sait, n’a pas peur des excès de vitesse. Jacques Mellick a déboulé à Béthune comme une Safrane dans un jeu de quilles, balayant tout sur son passage. Ancien dirigeant des Jeunesses socialistes, il rafle la mairie de Béthune à la droite centriste en 1977 et ravit le siège de député au PCF, l’année suivante. Insatiable, il réussit peu après la passe de trois en remportant un canton, détenu, là encore, par le Parti communiste. Il devient tour à tour secrétaire d’Etat aux anciens combattants, ministre de la Mer et enfin secrétaire d’Etat à la Défense jusqu’en 1993.
Il semble béni des dieux. A tel point qu’aux municipales de juin, la « bête politique », comme le qualifient ses adversaires, est restée maîtresse en sa forteresse malgré la condamnation pour subornation de témoin, prononcée par le tribunal de Béthune quelques semaines auparavant (voir ci-dessus). Certes, Jacques Mellick, élu avec 42% des voix au second tour d’une quadrangulaire, a perdu des plumes depuis son triomphe de 1989 (plus de 60% dès le premier round). Il est vrai que le parlementaire, déchu de ses fonctions nationales au PS suite à sa pitoyable prestation au procès VA-OM, a pu conserver des assises départementales, et notamment son poste stratégique de trésorier de la fédération socialiste du Pas-de-Calais.
Au demeurant, il a su maintenir l’essentiel de son emprise locale. « Mellick est une victime de la presse, assure une vieille dame rencontrée dans le hall de la gare. On lui cherche des noises, pourtant, lui n’a pas volé, n’a pas tué, il a juste menti… » Ce sentiment est-il largement partagé ? Difficile de juger : la plupart des habitants se refusent à tout commentaire au sujet de monsieur le premier magistrat. « Avant les municipales, nous avons réalisé un sondage sur la perception qu’avaient les gens de leur maire, explique Christian Vincent, journaliste à « la Voix du Nord ». Lorsque l’institut nous a communiqué les résultats pour Béthune, on a tout de suite vu le problème : si les avis étaient majoritairement favorables, 25% des personnes interrogées par téléphone ont refusé de donner leur opinion… »
Henri Tobo, conseiller municipal communiste, explique : « Certains ont effectivement peur de Mellick, de son pouvoir. Jouant à fond sur le clientélisme, il sait se rendre indispensable. Beaucoup estiment qu’ils lui sont redevables, que, sans lui, tout disparaîtrait. » En fait, au fil des années, l’édile a tissé une véritable toile d’araignée sur la petite ville de trente mille habitants, où près d’un millier d’emplois
280 CES - dépendent plus ou moins directement de l’appareil municipal. Pas une aide sociale, même départementale, n’est attribuée sans passer par le parapheur du maire. Lors de la campagne des municipales, du personnel a été recruté temporairement et spécialement par la commune : là pour aller tondre les pelouses des grands-mères de la cité des cheminots, ici pour mettre un bout de grillage, plus loin encore pour rénover un trottoir, par petits bouts, au gré de la demande. Jamais Jacques Mellick n’oublie de s’attribuer la paternité de ces exploits.
Mais la méthode dépasse parfois les bornes. Récemment François Queste, conseiller municipal « mellickien », a été démis de ses responsabilités au sein de l’association de parents d’élèves FCPE. L’élu est accusé d’avoir convoqué dans son bureau et « forcé la main » à deux employés CES pour qu’ils acceptent de conduire une liste FCPE dans une école maternelle dirigée par une adjointe au maire démissionnaire. Ce même François Queste est également au coeur d’un recours déposé en annulation du scrutin de juin. Il lui est reproché d’avoir utilisé, à des fins de propagande, un listing informatique du personnel de l’hôpital. Pour sa défense, il a affirmé qu’il ne s’agissait que des coordonnées des adhérents CFDT de l’établissement. Du côté du syndicat, indépendant par principe, on n’a guère apprécié l’argument…
Autre exemple, celui d’Albert Delhaye, poulain de Jacques Mellick, dont l’élection au conseil général vient d’être invalidée pour dépenses de campagne excessives. Le candidat socialiste avait oublié d’intégrer dans ses comptes les aides gracieuses apportées par le député-maire. Albert Delhaye s’était d’ailleurs présenté sous l’étiquette du MELIC (Mouvement pour l’environnement, la liberté et l’information du citoyen). La ficelle, déjà utilisée par Le Pen lors des Européennes de 1989, était un peu grosse. Mais le roi de Béthune, décidément, ne doute de rien.





REMI BROUTE

Ben voila L'épervier déploie ses ailes
Il cite en référence un éditorialiste du Front National

C'est bien le volatile, un beau gros facho qui s'assume vaut mieux qu'un alter mondialiste qui s'ignore!


Par contre il te faut réviser tes classiques sur les promesses d'embauches! les témoignages sur ton Saint André sont affligeants!

La pérennisation des emplois précaires pendant la campagne était une promesse du poireau
et puis
pshiiiiiiiiiit
après qu'il soit élu!

REMI BROUTE
Humanité
Ignare, Article paru
le 23 octobre 1995,t'en veux encore sur la collaboration ?

Broute te va bien mon petit volatile
Des citations de 1995 quand nous sommes en 2008 Bravo t'es vraiment un homme de progrès
comme ton Stalinien génocidaire et pogromaniqaque de Broute!

Ne cherche pas à te mesurer à moi.

Je t'écraserai comme une merde que tu es.

La lucidité est de rester à sa place

Non je n'en veux pas encore sur la collaboration, tes amis saint -andré and Co m'ont fait une illustration assez affligeante

Si te croise je te plume, encore faudrait il que tu es le courage de te mesurer à moi!

Le courage tu n'en as pas sinon tu ne serais pas un rapace mais un prédateur.

Ou tu veux quand tu veux.

Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer.
Mais t'es qui ? T es un pleurnichard,tu ne me connais même pas
ou alors tu es suicidaire,mais un jour tu vas me connaître .(promis)
Il ne suffit pas d'avoir de la gueule derriére un clavier et être
champion de l'injure de la calomnie

Pour ta gouverne je n'ai pas ma guele derrière un clavier...C'est pas ma faute si tu écris avec ton nez et que tu as tatoué AZERTY sur le front gros naze!

Encore une fois quand tu veux ou tu veux

Tu ne peux même pas imaginer ou conceptualiser mon pouvoir de te détruire

J'en fais ici la promesse dès lors que tu te seras dévoilé

Si tu as peur de ton ombre tu peux m'envoyer un message privé.
Cela restera entre nous. Tu as ma parole

Allez Osons le rapace!