Pour le climat : une taxe sur les transactions financières
Un an après l’échec de Copenhague, l’attente relative au Sommet de Cancun, qui s’est achevé début décembre 2010, était considérable. Mais c’était ne pas compter avec les intérêts que les nantis ne sont pas prêts à abandonner. On lira, à cet égard, sous la rubrique Écologie et société, l’article "Les capitalistes, les climato-sceptiques, les chevaliers de la terre-plate et les autres !" Pour leur part, Geneviève Azam et Jacques Cossart remarquent, dans leur éditorial intitulé "Pour le climat : une taxe sur les transactions financières", que "La célébration, quasi unanime, de l’accord de Cancun, constitue en soi un évènement étrange. Nombre de mouvements sociaux, souvent déjà fermement engagés dans la recherche de solutions, se sont trouvés sans voix devant cette déferlante d’applaudissements alors que le texte ne répond pas aux engagements minimaux pour faire face à la crise climatique".