Diffamatoire ?
NOn c 'est un triste constat de voir que lorsqu il y a du fric et qu 'on se le partage ça crée des liens...
Le parti socialiste a demandé en 2002 a voter pour Jacques CHIRAC alors qu 'il n 'y etait pas obligé ... POURQUOI ?
Le problême LEPEN aurait pu se regler sans cette INTERVENTION et cette compromission.
IL etait ahurissant de demander a des gens de gauche qui depuis leur plus tendre enfance se sont battus contre cette droite de voter pour elle ...NON ?
Elu a 82 % Chirac a continué a se moquer du monde en laissant aller la FRance à la dérive ...Ca arrangeait qui ?
L'affaire des marchés publics d'Île-de-France ou Affaire des marchés truqués des lycées d'Île-de-France est un dossier emblématique des dérives du financement des partis politiques dans les années 1990.
Cette affaire politico-financière française porte sur le financement par les marchés de construction et d'entretien des lycées des grands partis politiques français : RPR, PR, PS, PCF, organisés en cartel.
Seuls les Verts et le FN n'ont pas participé à ce détournement.
Les montants détournés aux frais du contribuable francilien se montent à plusieurs dizaines de millions d'euros (300 à 600 millions de francs), soit 2% du montant des contrats.
Chargé des lycées depuis les premières lois de décentralisation, le conseil régional dirigé par le RPR et dont le président était Michel Giraud a engagé, entre 1988 et 1997, 24 milliards de francs de travaux de rénovation, extension et construction dans 471 établissements, il a été prélevé 2 % de « commissions occultes » que se sont partagés ces grands partis, au prorata de leur représentation à l'assemblée régionale (0,8% pour la gauche et 1,2% pour la droite).
Selon l'accusation, les entreprises qui se voyaient attribuer des marchés de construction des lycées d'Île-de-France devaient reverser 2% de leurs montants aux partis: RPR, PS, Parti républicain. La plus grosse part (1,2%) du "racket" revint au RPR, alors dirigé par Jacques Chirac, secondé par Michel Roussin.
En cinq ans, pour la seule période comprise entre 1990 et 1995, le RPR recevra 53 millions de francs, le PS arrive en deuxième position, avec 46,7 millions, suivi du Parti républicain (32,6 millions) et du PCF (21 millions). Soit, au total, un peu plus de 150 millions de francs ont été versés par les grands groupes : Bouygues, Eiffage, Spie Batignolles, Suez et Générale des eaux.
Alors au vu de ça on peut dire que tout l 'appareil du PS a profité de CHIRAC ...NON ?
ON peut ajouter aussi l 'affaire URBA où le PS prenait des marges financieres sur des etudes + ou moins BIDONS et des pourcentages sur des travaux
Mais on pourrait aussi parler du soutien de la Fedération et donc de JANQUIN a DALONGEVILLE ?.
OUI ?
POurquoi je rale ?
Parceque je trouve inadmissible qu 'un pontife du PS absoud un delinquant notoire ....Ca n 'est pas un acte militant et ça démobilise les sympathisants et les adherents ...alors je crois que JANQUIN a perdu une belle occasion de se taire ou de rester plus discret ...a moins qu 'il veuille suivre les BESSON , KOUCHNER et BOOCKEL ?????...
C 'est a dire rejoindre la droite ?
C 'est démoralisant
.